Samedi 3 janvier 6 03 /01 /Jan 22:28

CONTRATS DOMINANT

Contrat soumise

 

   La soussignée __________________ agissant librement et à cœur ouvert , demande à _______________ qu’Il accepte la soumission de ma volonté à la Sienne et qu’Il me prenne sous Sa protection et sous Sa gouverne , afin que N/nous puissions croître en amour , confiance et respect mutuel. La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatibles avec mon désir en tant que soumise de Lui être agréable. A cette fin , je Lui offre l’usage de mon temps , de mes talents et capacités. De plus , je demande avec une humilité sincère que , en tant que mon Maître , Il accepte la garde de mon corps pour l’accomplissement et l’embellissement de N/nos besoins sexuels , spirituels , émotionnels et intellectuels. Pour y parvenir , il Lui est donné toute latitude pour l’utilisation de mon corps quelque soit le moment et le lieu , en présence de quiconque , pour Son usage personnel ou pour en faire don , comme bon Lui semblera.  

 

Je demande qu’Il me guide dans tout comportement sexuel , sensuel ou lié à une scène , avec ou sans Lui, de façon à ce que cela aide à mon épanouissement en tant que personne.

 

Je demande à _____________________ , en tant que mon Maître , qu’Il utilise le pouvoir dont Il est investit par Son rôle pour me modeler et me façonner ; pour m’assister à accroître ma force , mon caractère , ma confiance et tout mon être , et qu’Il continue à m’aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles.

 

En retour j’accepte :

 

D’obéir à Ses ordres au mieux de mes possibilités.

 

De m’efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité ou de honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités à Le servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Sa soumise.

 

D’entretenir une communication honnête et ouverte.

 

De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne.

 

De L’informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles , reconnaissant qu’Il est seul juge pour déterminer si et comment ils seront satisfaits.

 

De m’efforcer à entretenir une image de moi-même positive et à atteindre des objectifs et espérances réalistes.

 

De travailler avec Lui pour devenir une personne heureuse et accomplie.

 

De combattre les aspects négatifs de mon égo ainsi que mes inquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs.

 

Ma soumission est faite en connaissance que rien ne me sera demandé qui pourrait m’avilir en tant que personne et que cela ne réduira en rien mes responsabilités à utiliser au mieux mes potentialités. Face à mes obligations familiales , rien ne sera exigé de moi qui puisse de quelle que manière que ce soit nuire à ma relation ou causer du tort à mes enfants , ni limiter mes devoirs de mère et épouse.

 

Ceci étant , moi, ______________ demande instamment , avec lucidité et en en réalisant la pleine signification , tant explicite que implicite , que cette offre soit comprise dans l’esprit de confiance , d’attention , d’estime et de dévotion dans laquelle elle est donnée.

 

Si l’un de N/nous devait se rendre compte que ses aspirations ne sont pas rencontrées par ce contrat ou trouve celui-ci trop contraignant ou qu’Il souhaite pour toute autre raison annuler le présent contrat , C/chacun peut le faire en le notifiant verbalement à l’autre en concordance avec la nature consensuelle de cet accord. N/nous comprenons l’un et l’autre qu’une annulation signifie une cessation du contrôle défini et impliqué dans le cadre de ce contrat et non une terminaison de N/notre relation en tant qu’amis et amants. En cas d’annulation , C/chacun accepte d’expliquer à l’autre S/ses raisons et d’évaluer ensemble N/nos besoins et notre situation d’une manière ouverte et affectueuse.

 

Cet accord servira de base pour une extension de N/notre relation , dédiée , sur l’esprit d’une domination et soumission consensuelle avec l’intention de poursuive N/notre prise de conscience et N/notre exploration , à promouvoir la santé , le bonheur et l’amélioration dans N/nos vies.

 

J’offre mon consentement à ma soumission à__________________ sous les termes décrits ci-dessus en ce __________ jour de mois de _______ de l’année ______.

 

_

 

______________________

 

Signature de la soumise

 

 

 

J’offre Mon acceptation à la soumission de _______________ sous les termes décrits ci-dessus en ce __________ jour de mois de _______ de l’année ______.

 

 

 

________________________

 

Signature du dominant.

 

 

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Samedi 3 janvier 6 03 /01 /Jan 22:23

 

CONTRATS MAITRE

 

   Contrat d’esclavage  

 

   

    De mon plein gré et mû par mon désir d’exprimer mon amour et ma dévotion envers l’Homme que j’aime et que j’adore , je m’offre en esclavage à mon Maître pour la période commençant le______________ et se terminant le______________.

Me considérant comme l’esclave à plein temps de mon Maître durant la période ci-dessus mentionnée , je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sans hésitation ni considération pour moi-même ou pour d’autres.

Règles générales.

L’esclave accepte d’obéir à son Maître à tous égards. son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclave accepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire, et se fie implicitement à son Maître pour qu’Il en respecte l’emploi. Si une situation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, son Maître évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée.

L’esclave maintiendra son corps disponible pour son Maître à tous moments. En outre, l’esclave accepte que son Maître possède le droit de déterminer si d’autres personnes peuvent utiliser son corps et l’usage qu’ils peuvent en faire. Le Maître discutera tous les cas possibles à l’avance avec Son esclave afin d’être certain que ces jeux avec d’autres personnes ne violent pas des limites établies. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d’autres temps et lieux spécifiés par son Maître. L’esclave reconnaît que son Maître peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités. Il peut la blesser sans raison si ce n’est Son propre plaisir. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement. De plus, elle accepte que son Maître, s’Il se fatigue du bruit qu’elle fait, la bâillonne ou prenne d’autres mesures pour la réduire au silence.

L’esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément son Maître de toute émotion ou sentiment qu’Il est en droit de connaître. Quoique son Maître attend de Son esclave qu’elle Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut la préoccuper, elle ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre. elle formulera ses soucis d’une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de son Maître à ce sujet sans la moindre plainte.

L’esclave parlera toujours de son Maître avec amour et respect. elle s’adressera à Lui en tout temps en disant « Maître » ou « Monsieur » , ( voir les règles de conduite en public).

Le Maître a le loisir d’offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles elle peut s’exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à son Maître avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement.

L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et elle supportera la correction avec reconnaissance. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir du Maître et Celui-ci informera clairement Son esclave quand elle subit une punition. Le Maître sera particulièrement attentif à ne pas causer de dommages physiques qui nécessiteraient l’intervention d’une tierce personne. Le Maître et l’esclave admettent que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu’à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus

Il est permis à l’esclave de s’engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure du Maître. Sauf indication contraire dans ce contrat , tous droits et privilèges appartiennent au Maître et Il peut les exercer comme bon Lui semble. 

Règles de conduite en privé.

Les jours où son Maître est à Son travail , l’esclave Le saluera , portera Son collier , des entraves aux poignets et une chemise appartenant à son Maître. Elle ne portera pas de sous-vêtements en sa présence sauf avec Sa permission . Les jours où le Maître est à la maison , l’esclave portera ce qui est jugé adéquat par son Maître. Quand elle se trouvera dans la même pièce que son Maître , l’esclave Lui demandera la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où elle se rend. Pendant les repas , l’esclave servira son Maître et s’assoira à Ses pieds pendant qu’il mange. La nourriture de l’esclave sera fournie par le Maître à Sa discrétion. Quand elle s’adressera à son Maître , ou quand Celui-ci lui parlera , l’esclave adoptera un comportement attentif et vigilant et regardera son Maître dans les yeux sauf en cas d’instructions contraires.

Règles de conduite en public.

En tout temps l’esclave se conduira d’une façon telle à ne pas attirer l’attention sur son Maître et sur elle. elle s’adressera à son Maître en l’appelant par Son nom seulement si l’usage de « Maître » est non approprié. L’esclave se conduira d’une manière déférente envers son Maître en public. L’esclave pourra se vêtir mais devra obtenir l’approbation de son Maître pour tout vêtement qu‘elle souhaite porter en public. Sauf stipulation contraire , l’esclave ne portera pas de petite culotte.

Règles de conduite au travail.

Aucun article du présent contrat n’a pour dessein de nuire à la carrière professionnelle de l’esclave. Le Maître souhaite que Son esclave travaille durement et honnêtement et qu’elle se conduise d’une manière à leur apporter à tous deux respect et honneur. Durant ses périodes de travail , il est permis à l’esclave d’organiser ses rendez-vous , de s’habiller d’une manière convenable pour son travail et de quitter la maison si nécessaire. Pendant ses périodes de travail , l’esclave peut répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de son Maître.

Par ma signature ci-dessous , je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-devant ainsi qu’à toutes autres que mon Maître choisira d’ajouter à une date ultérieure. je confie mon corps et mon âme , avec reconnaissance , à mon Maître , pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée.

Esclave_____________ date_____

J’accepte le désir de Mon esclave de me servir totalement et Je me charge de la responsabilité de son bien-être , de son dressage et de la discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté.

Maître______________ date

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Samedi 3 janvier 6 03 /01 /Jan 22:19

 

 

 

Ce ne sont pas tous les soumises/esclaves qui possèdent la totalité de ces traits. Cependant, ces traits reflètent ce qui est caractéristique d' un esclave véridique et couronné de succès. (Cette liste ne doit pas être considérée comme exhaustive)

Acceptation :

l'Acceptation de votre valeur propre, de vos besoins, vos désirs et de tout ce que vous possédez en votre âme. C'est également l'acceptation de vos limites et de celles du Maitre que vous servez. C'est aussi la capacité d'accepter un autre être humain pour la personne qu'elle est, y compris ses défauts et particulièrement de reconnaître et d'accepter vos propres défauts. L'acceptation, enfin, de ce qu'est un esclave à l'individu et l'absence de honte ou de peur face aux besoins intérieurs, mais plutôt un sentiment d'équilibre et de plénitude dans son propre schéma de pensée.

Communication :

la capacité de parler et de discuter librement des choses, est une partie intégrante de n'importe quel rapport humain. C'est essentiel dans le rapport entre un esclave et son Maître. Un esclave doit aussi avoir l'habileté de communiquer ses besoins, volontés, désirs, craintes, pensées, limites, etc... L'acte de communiquer met autant en jeu l'honnêteté et la franchise de l'esclave que celle du Maître. Une fois la communication mise en place, le pont ainsi établi doit demeurer solide et présent - gage de l'honnêteté mise de l'avant par le Maître et son esclave. Ne pas communiquer, c'est vous mettre en danger, vous et votre Maitre, aussi bien physiquement qu'émotionnellement.

Compassion :

la capacité de voir et, au moins, d'essayer de comprendre les aspects émotionnels du psychisme de votre Maitre. Comprendre et être conscient de la multitude de situations qui peuvent, dans la réalité, affecter un Maitre physiquement, émotionnellement de même que mentalement. Être capable d'appliquer cette compréhension à beaucoup de situations qui surgissent dans la vie quotidienne et qui peuvent vous empêcher de servir votre Maitre au meilleurs de vos capacités, et, de la même façon, à ces situations qui peuvent empêcher votre Maitre de vous dominer au meilleurs de ses capacités à lui. Utiliser la compassion avec sagacité pour vous permettre d'aider votre Maitre, de le soutenir pendant les périodes de stress, est un indice d'une formation d'Esclave complétée. On doit se rendre compte qu'un Maître et un esclave sont aussi des personnes.

Courtoisie :

la Courtoisie est la capacité de faire montre de manières appropriées - les petits s'il-vous-plaits et mercis. S'adresser à quelqu'un avec un ton de voix respectueux. Vous devriez toujours faire preuve de courtoisie aux autres autour de vous. Personne ne fait exception à cette règle, Maitre ou esclave.

Grâce :

L'élégance dans la façon avec laquelle un esclave se présente est un trait de personnalité important et fort désirable. La façon dont l'esclave se comporte, démontre sa soumission, peu en importe les aspects purement visuels, doit toujours couler avec le style et la grâce. La détermination de l'esclave à accomplir au meilleurs de lui-même son rôle de servant, doit apparaître comme une fierté et être exempt d'hésitation. L'esclave doit être à l'aise avec son rang et chercher en lui-même les occasions de renforcer ses aptitudes.

Soumission :

c'est le trait le plus important chez l'esclave. C'est la capacité naturelle inhérente d'accepter d'être dirigé en tant que partie importante d'une équipe. Accepter le contrôle d' une façon respectueuse, intelligente et humble. La force de caractère qui vous permet de donner au Maitre le plein contrôle nécessaire à un rapport de pouvoir. La capacité de vous livrer complètement à votre Maitre pour l'intérêt de votre accomplissement dans ce rapport de pouvoir.

Honnêteté :

l'Honnêteté est la capacité de parler, et d'être ouvert et véridique dans ce que vous dites. Un esclave ne cache pas ses émotions, craintes, limites, fantaisies, idées, pensées, etc..... Un esclave ne dit pas à son Maitre ce qu'il pense que le Maitre veut entendre. L'honnêteté est la base de confiance, sans cela il n'y a aucune confiance. Et, sans confiance, il n'y a aucun vrai rapport. Un esclave couronné de succès est honnête, celui-là ne ment pas et n'essaie pas de tromper. il est véridique lorsqu'il parle. Le plus important, un esclave doit être honnête quant à son niveau d'expérience - mentir à ce sujet serait mettre sa propre vie en danger.

Humilité :

l'Humilité est la capacité de vous voir comme faillible. Vous voir comme une personne, non juste un esclave. Voir que parfois en réalité vos besoins doivent être mis de côté pour le meilleur de la relation. Un esclave couronné de succès sait qu'il fera des erreurs, qu'il n'est pas parfait. Un esclave couronné de succès est toujours ouvert à l'étude de nouvelles choses, l'obtention de nouvelles expériences , démontrant ses besoins et désirs à son Maitre.

Intelligence :

l'Intelligence est la capacité d'apprendre la voie appropriée du jeu avec "les jouets" inhérents "au style de vie". L'empressement et capacité de faire des recherches et d'apprendre sur le BDSM. La capacité de prendre le temps pour apprendre à connaitre son partenaire à l'extérieur des rôles de domination et de soumission, pour le connaitre comme la personne qu'il est, avec ce qu'il aime ou n'aime pas. La capacité d'enseigner à votre Maitre ce qui vous plait et ce qui, du même coup vous aidera à accroitre votre relation.

Fidélité :

c'est un trait très important chez un esclave couronné de succès. C'est la capacité de soutenir votre honneur personnel et rester vrai pour n'importe quel accord (s) entre vous et votre Maitre. L'inconstance est un trait fort peu attrayant chez un esclave et est dangereux au lien émotionnel entre le Maitre et l'esclave.

Patience :

 

un esclave couronné de succès à de la patience. La capacité d'attendre le bon moment. Laisser au Maitre faire la démonstration de toutes les subtilités des façons de lui faire plaisir. Apprendre que le voyage est souvent plus important que la destination.

 

 

 

Fierté :

 

la Fierté est la capacité de connaître vos capacités et de se rendre compte que vous êtes non seulement une bonne personne, mais un bon esclave. La fierté est la capacité de reconnaître vos propres forces. Cela ne signifie pas que vous devez être fermés à de nouvelles idées, cela ne signifie pas non plus que vous devez être inconscient de vos fautes, ou de vos faiblesses, ou maintenir un ego gonflé. La fierté de votre soumission est une belle chose. L'arrogance, ou la fausse fierté, peuvent être mortelles. La fausse fierté masque souvent des insécurités qui peuvent représenter une menace à votre vie.

 

 

Respect :

 

un esclave couronné de succès montrera le respect à tout moment, jusqu'à ce que le Maitre lui prouve qu'il est indigne d'un tel respect. Un esclave irrespectueux ne gagne pas le respect de son Maitre ou des esclaves autour de lui. En donnant le respect aux autres, vous le gagnez pour vous.

 

 

Respect de soi :

 

un esclave couronné de succès s'estime et respecte ses propres limites. Un sens solide de de sa propre valeur est une nécessité pour qui veut devenir un esclave réussi. La volonté de faire connaitre vos besoins et désirs à votre Maitre est la clé pour établir un bon rapport Maitre / esclave.

 

 

Service :

 

 

 

un esclave couronné de succès sert son Maitre en partageant et célébrant des buts communs. En tant qu'esclave vous avez le potentiel d'aider votre Maitre à apprendre et à se réaliser dans sa dominance. En démontrant votre obéissance et en vous soumettant aux voeux de votre Maitre, vous pouvez vous réaliser en tant qu'esclave à travers l'assistance à votre Maitre dans son exploration de lui-même et de son propre pouvoir interne

 

 

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Samedi 3 janvier 6 03 /01 /Jan 22:17

   

 

 

Contrairement à d'autres accessoires (orties, bougies…) les glaçons sont d'une apparition récente dans les relations SM ! La raison en est toute simple, le réfrigérateur est une invention moderne et sa banalisation l'est encore davantage.
On manque donc d'un certain historique, mais qu'importe ! Cela n'a pas empêché les classificateurs invétérés d'en cataloguer les amateurs dénommés désormais cryophiles !

Contrairement aux objets nommés plus haut ; il existe aussi une utilisation non SM du glaçon (non SM mais néanmoins très érotique) sur laquelle il convient de dire deux mots :

La pratique s'appelle la bouche glacée, et consiste simplement à se placer un glaçon dans la bouche, d'attendre quelques instants que le palais se rafraîchisse puis sans le retirer de pratiquer au choix : un french-kiss, une fellation, un cunnilingus, un anulingus, un suçage de seins…. D'une efficacité redoutable !

Mais revenons au SM ! Comment se servir des glaçons ?

Et d'abord cette évidence, un glaçon ça fond, pensez à prévoir une serpillière… de toute façon c'est votre esclave qui épongera non ?

Au passage je déconseille les glaçons en plastique, ces affreuses choses ne restent pas froid assez longtemps et ne permettent pas certaines pratiques très osées dont je parlerais plus loin !

Quelle grosseur ? Evitez les mini glaçons qui fondent trop vite, évitez aussi les icebergs qui en limiteront les possibilités, comme en tout, la bonne mesure est la moyenne. La forme n'a, elle aucune importance.

Comment prendre le glaçon : il y a des gens qui supportent plus ou moins le froid, si cela doit être un " supplice " pour le soumis, il ne faudrait pas non plus que cela en soit un pour le dominateur, alors 

 


- la solution la plus simple est encore de changer de main fréquemment et de faire des pauses
- on peut aussi se protéger avec des gants en latex, mais le froid finira par traverser
- Enfin on peut se servir tout simplement d'une pince à glaçon !

Comment appliquer le glaçon :

Le badigeonnage : C'est ce que je conseille de faire " en début " de séance " Le dominateur prend le glaçon et en parcours le corps du soumis, la peau est à chaque fois non préparée à cette agression et il s'ensuit une impression d'abord ressenti comme désagréable mais qu'on peut vite sublimer. Les parties que l'on peut ainsi toucher sont les cuisses, le ventre, les bras, le cou, les seins, le dos (ah cette impression de froid dans le dos…) les fesses.

Les applications constantes : On choisit un endroit du corps et on applique le glaçon sans le bouger ou en effectuant des déplacements très limités, ou encore en " tamponnant " ! Si le sujet est coucher on va simplement le poser ! Ça ne fait pas grand-chose, passé le premier contact, la peau va finir par s'habituer sauf pour ce qui est des zones érogènes, sexe, tétons et anus où les zones érectiles vont réagir 

Cas particulier de l'anus et du vagin : le fin du fin pour ces organes, c'est d'appliquer une pression avec un glaçon devenu de taille moyenne, après une minute de ce traitement (ou plus) on appuie et on fait entrer l'objet dans l'orifice ! Sensation garantie !

Les amateurs d'uro peuvent aussi s'amuser a confectionner des glaçons d'urine… ça change !

Annexe : J'ai eu l'occasion un jour de voir à l'œuvre un glaçon en forme de gode, curieuse je demandais comment on pouvait réaliser ce moulage, on m'expliqua qu'il s'agissait d'un bac avec deux moules épousant chacun la forme d'un demi gode coupé dans le sens de la longueur, il suffisait ensuite de souder les deux morceaux par le froid en les maintenant l'un contre l'autre à l'intérieur du freezer. Je ne vous dis pas l'effet que peut faire ce truc là ! Je n'en ai jamais retrouvé (je n'ai pas trop cherché non plus) La conception devait être artisanale. Mais ne voilà-t-il pas une super bonne idée pour un article de sex-shop!

 

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Samedi 3 janvier 6 03 /01 /Jan 22:14

   

 

 

Il semblait tout d’abord évident que dans l’imagerie générale du hard, les sévices corporels tiennent le haut du pavé. Suivi de prés par tout ce qui touche à l’entrave : BONDAGE, MENOTTES, LIENS, MOMIFICATIONS, etc… La troisième grande ligne étant le rapport dominant dominé avec toutes ses variantes et implications.

Dans l’esprit de beaucoup, adeptes ou non de ce genres de pratiques, le SM c’est d’abord l’idée d’un corps soumis à la souffrance et d’un maître qui inflige cette souffrance.

Naturellement cette dernière prendra tous les aspects possibles et imaginables : bougies, aiguilles, pinces, électricité, scarification, brûlures, et bien entendu la flagellation.

 La flagellation qu’est ce que c’est ?

Ce mot du 14 éme siècle, vient de la famille latine de FLAGRUM signifiant fouet à plusieurs lanières garnies de boutons de métal et d’os. Dans la même famille on trouve le mot FLAGELLUM : fouet plus petit et cinglant.

Le mot fouet quant à lui est un mot du 13 éme siècle, qui vient du latin FAGUS, le hêtre, et signifie verge de hêtre.

A noter que le mot fléau, instrument pour battre le blé, a la même racine ; ainsi que le mot fêlure qui signifie littéralement trace de fouet.

Il est intéressant de noter que déjà dans le latin ecclésiastique, le mot fléau signifie aussi, châtiment envoyé par DIEU.

On le voit donc, la flagellation inclus l’idée d’instrument, de mouvement, et d’action. On pourra donc fouetter son partenaire avec toutes sortes d’ustensiles : fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, paddles, battes, …la liste n’est pas exhaustive et laisse libre cours à votre imagination.

Les gifles et les fessées même si elles peuvent faire partie intégrante d’une bonne flagellation font souvent l’objet d’une séance à part entière et nécessitent une technique qui leur est propre. Nous ne ferons que la survoler ici.

Si l’on essaie de dresser un arbre généalogique de la flagellation, on se rend vite compte que cette pratique a dans l’histoire trois grandes utilisations:

On trouvera bien sûr une interconnexion entre la religion et la punition.

Mais je vous rassure, l’homme a toujours su se servir de son imagination et de son environnement pour son plaisir. C’est pourquoi, une quatrième utilisation de la flagellation, sexuelle cette fois, apparaît en filigrane tout au long de l’histoire, et ce dés le Kama Sutra. Elle n’est cependant un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé que depuis le 17 éme siècle.

Religieusement, la flagellation est utilisée souvent pour atteindre des états de transe. Les chaman par exemple considèrent que c’est un excellent moyen de se perdre soi-même afin d’entrer en contact avec Dieu. Lors de cérémonies ou de rites, on utilise la flagellation afin d’attirer l’attention des divinités ou de rendre les femmes fertiles. Le culte de diane chasseresse par exemple donnait lieu à de véritables concours de fouet.

Les missionnaires quant à eux ont allègrement utilisé le fouet en Afrique, au Mexique ou au Paraguay, afin de forcer les populations à se convertir.

Médicalement on a fouetté les fous entre le 17 et le 19 éme siècle. A Rome, le culte de Junon demandait à se que l’on fouettât les femmes pour lutter contre leur stérilité. Et d’une façon plus général on a longtemps cru que la flagellation aidait à lutter contre l’impuissance.

On a souvent utilisé le fouet en guise d’électrochoc pour « réveiller » un malade ou une personne dérangée.

Dans l’armée, dans la police, dans la marine… on a également largement utilisé la flagellation. Les mutineries étaient punies par le fouet ainsi que les manquement à la règle. On recourait également au fouet pour faire des exemples. Pour calmer des ardeurs belliqueuses ou des récalcitrants. Des déserteurs furent fouettés ainsi que des soldats en cas d’échec de leur mission.

La police s’en servait régulièrement pour punir des fautes ou faire parler des suspects. Il n’était, par exemple, pas rare d’attacher une prostitué nue sur un âne. On lui faisait faire tout un périple jusqu’à la prison, périple au cours duquel la population était libre de la frapper. Enfin, une des applications les plus répandue était sans conteste la torture. A ce propos, il faut noter que très tôt on a su que certains bourreaux pouvaient retirer du plaisir à molester leurs victimes et des ordonnances spéciales, du moyen - âge au 18 éme, ont réglementé les séances de tortures. Certains bourreaux furent même à leur tour punis pour avoir commis des excès.

Quant à l’interconnexion entre le religieux et le punitif, les exemples ne manquent pas. Tantôt les moines ou tout abstinent se flagelle pour chasser les ardeurs ,chaleurs et autres montées de sève. Tantôt il se mortifie pour chasser de vilaines pensées. Il se flagelle pour expier une faute commise ou pour se punir de ses péchés. Parfois c’est l’inverse et ce sont les paroissiens qui se font frapper. Des exemples de nonnes dévêtues puis battues sont répertoriés. Plus généralement, on recherche la mortification de la chair, dans une recherche mystique, afin de ressentir les douleurs du christ, et de se rapprocher de dieu.

Quelque soient les causes, les pratiques et les alibis dans ces quatre catégories, elle démontre une chose évidente : L’union du corps et de l’esprit. Si on cherche à punir l’un c’est pour faire entendre raison à l’autre. Si l’on meurtri le corps c’est pour pousser l’esprit plus loin. Si l’on violente le corps, c’est pour que l’esprit réagisse. Le principe est fort simple : agir de façon à souder le corps et l’esprit, en les amenant à se dépasser, à se stimuler l’un l’autre. Les informations de douleur physique transmises au cerveau agissent comme des détonateurs qui forcent la pensée à avancer, celle ci à son tour transmet au corps l’ordre d’endurer et de résister…

C’est cette alchimie qui nous intéresse quand on parle de SM et de flagellation. Que votre relation soit physique ou très psychologique, le rapport corps/esprit est à la base de tout. Si par exemple vous décidez d’attacher votre partenaire et de laisser seul, pendant X temps, totalement isolé, son confort physique interviendra à coup sûr dans sa capacité de résistance et par delà dans le plaisir qu’il prendra à ce jeu. Et bien avec le fouet c’est la même chose. Les premières impressions sont toujours la morsure, la douleur, et puis l’on décide d’endurer, d’avancer, de se motiver pour aller plus loin. On habitue son corps et donc sa pensée, on trouve son confort , on cherche à se surprendre, à surprendre le fouetteur. Plus vous recevrez de coups plus votre esprit s’affolera, analysera, travaillera et plus vous irez Loin physiquement. Le secret résidant bien évidemment dans la manière dont vous êtes fouettés. Le dépassement de soi, l’extraordinaire magie qui transforme douleur en plaisir, la volonté de continuer à subir ou a frapper, plus longtemps, plus fort, Tout cela vous l’obtiendrez avec de bonnes séances, bien maîtrisées.

Ce phénomène est chimique. La capacité de supporter la douleur est directement liée à la quantité de substances organiques chimiques sécrétées dans le corps. Dés le début de la séance, en caressant, en pinçant délicatement la zone à fouetter on prépare le fouetté, à la fois physiquement et spirituellement. Cette période d’échauffement va aller en s’intensifiant afin de donner au cerveau du fouetté la possibilités de mobiliser le corps et de sécréter des neurotransmetteurs analgésiques ou euphorisants. C’est ce qui fait par exemple que l’on supporte mieux la douleur quand on approche de l’orgasme.

C’est cette notion de lien corps /esprit qui anime souvent les clients des prostitués, spécialisées dans le SM. Les soumis sont souvent des hommes d’affaire ou des gens à fortes responsabilités qui viennent se faire fouetter pour vider le stress de leur esprit, pour se calmer, se détendre.

Avant de passer à des notions plus pratiques, plus manuelles, je voudrai donner quelques conseils (liste non-exhaustive):

Eviter de vous lancer à corps perdu dans des séances de flagellation si vous êtes dans un égat second. Alcool ou drogue en trop grande quantité. Si chez certain cela a un effet anesthesian, chez d'autre cela peut être le contraire. La qualité des gestes est bien différentes selon notre fatique ou notre taux de substances variées dans le sang...

Convenez toujours d'un mot ou d'un geste pour arrêter le jeu, si nécessaire (voir safeword)

On ne tape pas sur son partenaire comme un abruti, c'est censé être un plaisir

A ce propos j’aimerai revenir sur l’idée de la flagellation dans le cadre d’une punition. Dans un rapport dominant/dominé. La séance ne doit pas être utilisé n’importe comment. Car elle doit répondre à la fois à sa fonction de prise de pouvoir sur l’autre et aussi à sa fonction de punition.

On fouettera pour mettre à sa botte et montrer qui est le maître. Mais on fouettera aussi pour punir l’esclave désobéissant. C’est pourquoi les coups ne seront pas les mêmes et les conditions de la séance changeront. On pourra être plus dur, verbalement par exemple, ou humilier davantage le dominé, en public pourquoi pas, dans le cadre d’une punition.

On n’utilise pas n’importe quel accessoire sans savoir si son partenaire va encaisser. Le chat à neuf queues par exemple, avec ses billes de métal au bout n’est pas un yoyo pour première communiante.

-Oui la peau ça marque.

-Oui le sang ça tache.

 

Par planete-bdsm
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