Non catégorisé

Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 03:31

 

 

Comme je vous l'avais dit, je pense qu'une fessée doit s'accompagner du maximum d'humiliation: tout d'abord, le futur puni doit le savoir largement avant afin de s'imprégner et de bien comprendre que la punition est inéluctable et qu'elle sera appliquée sans sadisme mais sans aucune faiblesse ni pitié.

Il faut être tout à fait claire et édicter distinctement que compte tenu de son attitude détestable, il recevra une fessée très rapidement ; vous devez prévenir votre future victime au moins 24 à 48 h avant le châtiment : la peur et la réflexion sont toutes deux excellentes conseillères !!!!

Une fois la décision prise et annoncée, les ordres devront être donnés de façon très ferme, sans crier mais ils sont définitifs et toute réflexion ou tentative de rébellion sera comptabilisée en plus de la punition: cela devra être je pense annoncé à part.

par exemple:

"Tu vas recevoir une bonne fessée pour t'apprendre à vivre. Ton insolence ou ta rébellion te vaudra xx coups supplémentaires qui te seront infligés à la fin de la punition principale. Plus un mot et exécution car sinon... "

L'instrument devra soit être prêt à servir dés que la date et l'heure prévue seront atteintes.

(Si la punition doit être infligée dans un autre endroit que la maison, il faudra faire transporter les instruments au puni : savoir que dans le sac qu'il porte se trouvent des engins qui vont lui rougir les fesses aura un effet extrêmement salutaire et ramollira si besoin en était toute velléité de rébellion)

Si la punition a lieu à la maison, soit le puni devra aller chercher le ou les instruments, soit ils seront en évidence posés prés du lieu choisi pour l'exécution. 

Les instruments de la punition pourront être, au choix : martinet, twase, paddle, strappe, ceinture, lanière ou même, dans les cas graves cravache ou fouet…. Ou tout autre engin : je fais amplement confiance à votre imagination pour trouver d'autres outils de châtiment.

Avant de commencer la punition, il serait je pense de bon ton psychologiquement d'expliquer en détail au puni pourquoi il est puni, ce qu'il va recevoir, ce que mérite son ou ses attitudes etc...

En ce qui concerne la posture ou la position du puni à l'écoute de la sentence, ce sera je pense à votre convenance: les mains sur la nuque ou dans le dos, la tête baissée ou pas, à genoux ou debout etc... 

De la même manière je ne sais pas s'il est besoin que le puni soit déjà en tenue pour sa fessée lorsqu'il écoute la sentence…je pense que non mais ça, cela ne dépend que de votre volonté.

Après l'exposé fait d'une voix calme et posée des motifs de la punition, vous devrez annoncer d'un ton définitif, le nombre de coups prévus et les instruments qui seront employés ; puis, il faut ordonner au patient de se mettre en tenue (si besoin) ou en place et lui expliquer très clairement la position désirée pour le châtiment: les mains, les bras, les jambes le torse, les reins cambrés ou pas, appuyé sur une table ou penché sur le dossier d'un canapé ou d'un fauteuil etc... Pensez à votre bien être, c'est cela qui compte afin que la punition soit distribuée sans fatigue ni gène. 

Je suis persuadée qu'obliger le futur puni à se déculotter lui-même est extrêmement salutaire et surtout bien plus humiliant. A ce propos, ne faites pas enlever complètement son pantalon et son slip à votre futur puni : vous ne devez frapper que sur les fesses et de cette façon, le dos et les cuisses seront ainsi protégées…tout en vous permettant d'admirer le fessier de votre puni, bien mis en valeur par les vêtements toujours présents, encadrant et enluminant votre " cible ".

Il faut de même expliquer que toute tentative de protection des fesses par une ou des mains, que tout essai de se dérober, tout trémoussement obscène, tout changement de position vaudra à l'auteur un supplément gratuit... et non comptabilisé dans la punition elle-même; la punition prévue sera appliquée toujours jusqu'au bout, sans égard pour les plaintes geignements ou supplications du puni: ces plaintes peuvent même, si elles dépassent les bornes de la bienséance valoir à leur auteur une volée supplémentaire qui lui sera distribuée généreusement soit au cours de cette punition, soit lors d'une future fessée si vous pensez que les limites de votre puni sont atteintes…vous verrez c'est assez facile de savoir si votre puni a atteint les bornes supportables : Les cris et geignements changent, l'attitude est différente, les supplications ont un accent qui ne trompe pas ; ne vous laissez pas abuser par des larmes de crocodiles que certains punis savent faire couler rapidement et avec abondance : vous connaissez votre victime, soyez impavide et INFLEXIBLE : il vous remerciera pour cela, vous verrez…

Donc en résumé, une fois les limites atteintes, rajoutez tout de même quelques sévères cinglages (4 ou 5 ) afin qu'il comprenne bien que c'est sérieux…

Les coups seront donnés donc, régulièrement avec une force à peu prés égale et sans violence inutile ou déplacée: c'est une punition réelle, donnée parce qu'il le faut bien. Ce n'est pas un jeu : les coups seront appuyés et fermes.

Une fois la fessée terminée, le puni devrait être - selon la gravité des fautes reprochées - mis au coin, les fesses rougies exposées à la vue de son fesseur et des éventuels spectateurs. Les mains sur la nuque, il restera là en exposition pendant quelques temps, afin de méditer sur les conséquences de ses actes... 

Lorsque l'exposition au coin se termine, le patient est invité à se reculotter; à ce moment, il peut être utile de le sermonner une nouvelle fois en lui expliquant bien que tout manquement ou toute insolence, toute attitude agressive ou tout mensonge, toute plaisanterie douteuse ou bêtise sera répercutée sur ses fesses sans haine mais sans aucune faiblesse: La gentillesse et la patience ont atteint leurs limites hautes: toute faiblesse sera désormais bannie et toute infraction sanctionnée puisqu'il ne comprend que la manière forte, celle-ci sera employée à chaque fois que cela s'avèrera nécessaire : c'est à dire souvent et sans faiblesse aucune.

Pour ne rien oublier des fautes ou infractions commises, il est conseillé de posséder un carnet dont il sera fait mention plus bas dans cette lettre.

Je pense qu'une punition de ce type se doit d'être infligée sans aucune entrave ni lien car le patient doit l'avoir soit réclamée, soit savoir tout au fond de lui qu"il mérite amplement cette fessée. Si vraiment il n'y a pas moyen de le faire rester tranquille sous la fessée, il faudra l'immobiliser et toujours lui infliger un surcroît de claques non comptabilisées dans la sentence: toute peine mérite salaire.

Une fois que le puni est en position, la fessée peut commencer. Les coups doivent tomber régulièrement non seulement sur toute la surface exposée mais aussi assez lentement afin que la douleur de chaque coup soit répercutée dans les fesses avant que le coup suivant ne tombe.. Pour accentuer son humiliation, vous pourriez lui demander de compter les coups d'une voix haute et intelligible : toute erreur, omission ou faute entraînant automatiquement la reprise au tout début de la punition.

Par contre, lors des suppléments, les coups peuvent être assenés plus vite mais tout aussi fermement.

Pour ce genre de punition, il peut être utile de posséder une espèce de petit carnet ou noter les lieux heures et infractions qui vaudront au puni de recevoir une nouvelle fessée. En effet on ne pense pas toujours à tout... Il faut que cette comptabilité soit claire précise et non abusive: des faits et attitudes ou réflexions qui VRAIMENT nécessitent punition.

De temps en temps, il faut faire le point avec ce carnet de notes et... agir en conséquence: cela permet de doser justement le châtiment du puni.

Une fois la punition finie, on n'en parle plus, on met le carnet à jour et on est reparti pour une nouvelle vie, sur des bases clairement définies et rappelées éventuellement lors de chaque séance de fessée. Le puni doit comprendre et savoir que certes il est châtié car il a été méchant, désobéissant ou insolent mais que vous ne faites que votre devoir : vous le faites sans haine mais fermement. Une fois la punition complètement subie, vous pardonnez : il faut le dire clairement de façon à ce que le puni sache que tout est oublié.

Je pense que le top de ce genre de séance c'est que le puni sache et demande sa punition: cela démontre de façon éclatante qu'il sait qu'il a mal fait et qu'il réclame son châtiment et comme chacun le sait... qui aime bien...

Par planete-bdsm
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 02:53

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Elle n’a plus de vie privée en l’absence de Son maître, elle vit sa condition de soumise en permanence mais  ne vit pas pour autant avec son Maître, elle est célibataire dans sa vie quotidienne et ce depuis qu'elle l’a trouvé.

Il faut du temps pour supporter ces moments d’absence la soumise sait que c’est le cas de beaucoup de soumises, c’est pourquoi la soumise doit  témoigner de  sa soumission et de son obéissance à son maître.

Le maître est parfaitement convaincu que lorsque la soumise a trouvé le Maître qu’elle recherche depuis des années,  se retrouver seule au quotidien est nécessaire dans l’apprentissage de la  soumission.

Les soumises sont complètement instables et le fait  est qu’elles ont besoin de cela pour se rééquilibrer.

Apprendre à  subir sa sexualité et à la contrôler.

Ce n’est pas évident mais il  faut un certain temps avant de le vivre avec cette conviction. son Maître impose cette vie seule face à elle-même et  c'est bien pourquoi aujourd’hui le Maître a tracé le chemin de sa soumise .

La soumise va passer par toutes sortes de sentiments, le manque, la jalousie, l’impatience, la tristesse, l’insolence, la peur de le perdre etc.

 

est célibataire dans sa vie quotidienne et ce depuis qu'elle l’a trouvé.

Il faut du temps pour supporter ces moments d’absence la soumise sait que c’est le cas de beaucoup de soumises, c’est pourquoi la soumise doit  témoigner de  sa soumission et de son obéissance à son maître.

Le maître est parfaitement convaincu que lorsque la soumise a trouvé le Maître qu’elle recherche depuis des années,  se retrouver seule au quotidien est nécessaire dans l’apprentissage de la  soumission.

Les soumises sont complètement instables et le fait  est qu’elles ont besoin de cela pour se rééquilibrer.

Apprendre à  subir sa sexualité et à la contrôler.

Ce n’est pas évident mais il  faut un certain temps avant de le vivre avec cette conviction. son Maître impose cette vie seule face à elle-même et  c'est bien pourquoi aujourd’hui le Maître a tracé le chemin de sa soumise .

La soumise va passer par toutes sortes de sentiments, le manque, la jalousie, l’impatience, la tristesse, l’insolence, la peur de le perdre etc.

A vrai dire elle le vit très mal et ne pense pas qu’un jour elle le surmontera, Le Maître doit communiquer en permanence avec la soumise au moindre besoin pour que la soumise maîtrise absolument ces  émotions.

 Cela dépasse la raison, 

La soumise ne doit  jamais tenir rigueur à son Maître de pas se culpabiliser de son absence physique. C’est indigne  d'un comportement d'une soumise  de  sa soumission et de son Maître, la soumise devra délivrer de mes mots à son Maître.

 

Par planete-bdsm
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 02:43

Les punitions sont le corollaire des commandements et des règles de vie. La dualité faute/punition est inscrite au plus profond de notre inconscient collectif, c’est la sanction que le Maître inflige à l’élève distrait pour qu’il progresse, c’est le châtiment divin infligé au pécheur pour qu’il expie.

Sanction d’une faute, la punition est un constat d’échec tant pour la soumise que pour le Maître, elle ne peut donc être source de plaisir ni pour l’un ni pour l’autre. Les punitions ne doivent pas être l’alibi à l’exacerbation de pulsions sado-masochistes mal assumées, ces pulsions doivent être assumées sainement pour pouvoir s’exprimer lors des « séances ». Le piège classique est la soumise plus masochiste que réellement soumise qui accumule les fautes afin de recevoir un châtiment physique au travers duquel elle tire son plaisir, son pendant est le sadique qui, incapable d’assumer ses besoins, multiplie les contraintes et règles inapplicables pour avoir un prétexte à « sévir ».

Dans le monde du BDSM la punition a un rôle pédagogique, c’est par elle que le Maître rappelle à la soumise ses devoirs, ses engagements et les objectifs qu’elle s’est fixée. Elle a aussi un rôle « expiatoire », une fois la faute sanctionnée il n’est plus besoin de revenir dessus indéfiniment, l’incident est clos. C’est peut être là une des forces du couple BDSM par rapport au couple vanille

 

Par planete-bdsm
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 02:41

Les corrections (à prendre au sens de corriger un défaut non au sens d’infliger une rouste), sont la sanction immédiate d’une faute mineure (mauvaise position, écart sans gravité de langage). C’est plus un recadrage qu’une réelle punition. Son intérêt est dans l’immédiateté, le lien est direct de la faute à la sanction, elle permet aussi au Maître de montrer que s’il voit les fautes, c’est qu’il est attentif à sa soumise. Son risque est d’apparaître comme un geste de colère, un manque de maîtrise de soi, la soumise ne manquerait pas alors de voir la confiance qu’elle place en son Maître entachée par un tel geste. Sanction d’une faute sans gravité elle ne peut qu’être légère.

La punition, c’est la sanction d’une faute significative, manquement grave à une règle, laxisme chronique dans l’application d’une directive c’est aussi le recadrage d’une soumise qui perd de vue ses objectifs et commence à dérailler. Travail sur la durée, la punition ne doit être ni décidée ni exécutée dans l’instant et la précipitation. Pour que son effet pédagogique soit maximum il faut que la soumise, en compagnie de son Maître, analyse sa faute, qu’elle comprenne en quoi son comportement a été fautif, éventuellement ce que cela sous-entend dans son vécu de la relation, qu’elle trouve les moyens d’éviter qu’une faute similaire se reproduise. Une fois la faute comprise et acceptée la soumise doit être capable de proposer la sanction qu’elle estime mériter, charge au Maître d’accepter cette proposition ou d’imposer un autre châtiment qu’il estime plus adapté.

L’art du Maître consiste autant à savoir expliquer la faute qu’à appliquer une sanction équitable. Une fois la punition infligée, la faute est pardonnée, il n’y a pas lieu de revenir dessus, à moins évidemment qu’une faute identique soit commise à nouveau.

 

 

 

 

 

 

Par planete-bdsm
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 02:36

Les corrections étant des sanctions immédiates celles si se font au moment et sur le lieu où aura été commise la faute. Pour les punitions il est classique de réserver un moment fixe dans la semaine consacrée à l’analyse et la sanction des différentes fautes. A chacun de savoir en fonction de la relation et de sa soumise si cela doit obéir à un cérémonial et avoir une certaine théâtralité ou, à l’opposé, se faire sur un mode moins strict permettant à la soumise de s’exprimer sans frein.

C’est une bonne pratique de faire tenir par la soumise un « carnet de punitions », carnet qu’elle aura en permanence sur elle où elle notera les fautes commises, soit spontanément, soit sur ordre de son Maître. Elle y notera les motifs de la punition ainsi que la sanction appliquée. Certes un des avantages d’un tel carnet est de suppléer à la mémoire défaillante de la soumise ou de son Maître, mais son principal intérêt est pédagogique. Coucher sur le papier la faute et sa sanction leur donne une matérialité, écrire noir sur blanc l’analyse de la faute impose un effort de synthèse et permets de s’assurer que celle-ci a été bien assimilée

Châtiment d’une faute, la punition est faite pour marquer l’esprit de la soumise, c’est par le souvenir qu’elle laisse, qu’elle agira comme une balise dans le futur. Culturellement le premier réflexe est d’associer punition et douleur physique alors que l’expérience prouve que la douleur « morale » est souvent beaucoup plus cuisante. Ainsi, par exemple, il est bien plus marquant pour une soumise d’avoir à s’agenouiller devant son Maître, d’autant plus que celui-ci se fera distant, pour confesser sa faute et en demander le pardon que de recevoir quelques coups de ceinturon ou autres châtiments physique. C’est donc au Maître, en fonction de la situation, de choisir entre sanction physique ou mentale, à lui, alors, de faire preuve d’imagination pour trouver un châtiment en rapport avec la faute.

Lors d’une sanction physique c’est l’aspect douleur en tant que souffrance physique et morale qui est recherchée et non la douleur plaisir du jeu. Entre ces deux douleurs la frontière est ténue, passer de l’une vers l’autre ferait perdre toute efficacité a la punition et risquerait de faire basculer dans le cercle vicieux puniton/plaisir. Pour éviter ne telle confusion, une bonne habitude, surtout lorsqu’on débute, est de réserver certains « instruments » exclusivement aux punitions pendant que d’autres le seront pour les jeux.

 

 

 

 

 

Par planete-bdsm
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